7 déc. 2015

SUMMER READS | Ce que j'ai lu cet été



Cet été, pour essayer de surmonter ma panne de lecture et mon envie de faire autre chose, j'ai décidé d'emporter avec moi une valise remplie de romans pour toujours avoir le choix entre plusieurs lectures. Bon, en fait, j'ai juste emporté ma Kindle en vacances.

La plage, le camping, les vagues... Tout était réuni pour un bon moment de lecture.



Cet été, j'ai lu :

 


https://www.goodreads.com/book/show/11988046-pivot-pointhttps://www.goodreads.com/book/show/13260742-right-of-way


https://www.goodreads.com/book/show/18311425-forget-mehttps://www.goodreads.com/book/show/19732381-dangerous-boys


https://www.goodreads.com/book/show/22021611-just-one-nighthttps://www.goodreads.com/book/show/17455811-bitter-sweet-love


Cliquez sur les couvertures, elles vous mèneront vers les liens Goodreads.

5 déc. 2015

BOOK REVIEW | Ma raison d'espérer










Titre: Ma raison d'espérer
Auteur : Rebecca Donovan
Genre : sujet difficile, romance, émotions
Publié chez PKJ



             De quoi parle le tome 1         

Emma a tout fait pour empêcher Evan d'entrer dans sa vie. Non pas parce qu'il la laisse indifférente, bien au contraire, mais parce que personne ne doit savoir. Savoir qui elle est vraiment, quelle est son histoire, et surtout, ce qui l'attend tous les soirs, quand elle rentre chez elle...

                   Mon Avis                   

Pour éviter le maximum de spoilers, cette chronique sera assez réduite. Enfin, on verra bien.

le dernier tome, s'il vous plaît. Dans ma chronique sur le premier tome de cette trilogie, je vous parlais du comportement d'Emma, qui m'avait quelque peu énervé. 
Aujourd'hui, je n'aurais pas complètement le même discours.
Emma vit de nouveaux rebondissements dans sa vie, car elle prend une nouvelle décision plus ou moins réfléchie et qui m'a assez déconcertée. 
Comme pour le premier tome, certaines actions étaient répétitives et entravaient le bon déroulement de l'intrigue, si je puis dire. Comprenez-moi bien, j'ai adoré ce deuxième tome, je tournais sans cesse les pages (une fois la tête complète dans ma lecture), les chapitres filaient à une vitesse folle.
Mais - car il y a un "mais" - encore une fois, certains moments semblaient durer une éternité car ils étaient des fois redondants. Ce qui est assez paradoxal, étant donné la vitesse à laquelle les chapitres défilaient sous mes yeux. Passons.

Cette fois-ci, le personnage qui m'a le plus mise hors de moi-même, c'est Evan. Ce garçon est trop lisse, trop parfait, trop gentil et bienveillant pour moi. Et même malgré un certain troisième personnage qui fait une apparition remarquée et remarquable, Evan reste lisse, parfait, gentil et bienveillant. J'avais envie de le secouer, de lui dire de se bouger un peu. 

J'avais tout autant - voire plus - envie de secouer Emma, de lui dire de se réveiller, de réfléchir, de partir de l'endroit où elle se trouvait, de ne pas répéter les mêmes erreurs. On n'apprend pas des erreurs de son passé apparemment, même si les erreurs n'étaient pas vraiment les siennes. On n'apprend pas des décisions prises dans son passé apparemment.

le mot de la fin. Néanmoins, j'ai passé un excellent moment. (On a vraiment le droit de dire ça d'un livre avec un sujet si difficile?) On ne peut pas toujours être d'accord avec les décisions prises par les personnages. Nous en somme pas à leur place non plus. 
"L'action" était au rendez-vous, les rebondissements aussi.

Et la fin.

Quelle fin.

Donnez-moi le dernier tome, tout de suite.


                    Ma Note                    
4/5

Le jour où j'ai appris à lire




Oyez Oyez chers lecteurs,


Hier, vendredi 4 décembre 2015, est un jour à marquer d'une pierre blanche. On pourrait même marquer la semaine entière en fait. 
Mais que s'est-il passé de si important, vous demanderez-vous..?

Hier, J.A.I F.I.N.I U.N L.I.V.R.E

 

 

Et j'ai accessoirement eu l'impression d'avoir redécouvert la vie.

 

Bon, peut-être pas "redécouvert la vie", d'accord, mais j'étais tellement heureuse (et fatiguée, il était quand même 2h du matin) que la première chose à laquelle j'ai pensé, c'est qu'il fallait que j'écrive un post à ce propos.

 

Mon dernier post parlait de mon retour sur le blog, ma panne de lecture, tout ça, tout ça. Je ne suis jamais sortie de cette panne de lecture. J'y suis encore, malgré ce récent exploit. C'est bien pour cela que je qualifie le fait de finir un livre comme un exploit. Et je déteste ça. Ça devrait être quelque chose de naturel, terminer un livre quand on les dévore comme je le faisais. Ça devrait rester magique,fantastique, merveilleux, féérique, et surtout quotidien.

 

Passons.

 

Je vous avais laissé quelques mois plus tôt en vous disant que je n'avais pas fini de livre depuis une éternité quelques mois. J'étais un peu comme Spencer dans Esprits Criminels, bien qu'on ne soit pas au même niveau tous les deux.




 Pour être tout à fait franche, j'ai quand même lu quelques livres pendant ces quelques mois.
Ce n'est pas qu'ils ne comptent pas, mais comme il s'agit de lectures pour les cours ou pour mon mémoire, je n'ai pas éprouvé le même sentiment en les finissant.
Ne vous méprenez pas, ils étaient très intéressants. Je n'aime juste pas me sentir "forcée" de lire, et je prend donc forcément un plus grand plaisir à terminer un livre que j'ai choisi.


Comprenez-moi bien. Ce livre dont je vous parle, je l'ai acheté le 5 novembre, commencé le jour d'après et terminé un mois plus tard.

 

J'ai repris les transports, lu pour les cours, pour on mémoire, je rentrais chez moi je lisais pour les cours, pour mon mémoire, je travaillais, je ne lisais plus. 


Et puis un jour pendant lequel j'ai passé six heures de mon temps à ne rien faire en attendant mon prochain cours, j'ai pris ce livre dans mon sac. Pendant ces six heures, j'ai travaillé. A un moment donné, j'ai eu envie de lire. J'ai plongé la main dans mon sac, ouvert ce livre et puis j'ai tourné les pages, encore et encore.


Je me sentais bien.

 


Cette semaine, je n'ai lu que dans les transports. J'avais envie que mon temps de trajet s'allonge. J'aurais voulu rester bloquée une heure dans le train pour lire un peu plus. Bon, d'accord, j'exagère là.


Hier soir, la fatigue n'a pas remporté le combat contre la frustration grandissante de ne pas avoir réussi à finir mon chapitre à temps avant d'arriver à ma station. Je me suis réfugiée dans ma chambre, prête à envoyer balader toute personne qui viendrait me déranger.

 


J'ai tourné les pages, encore et encore. Je ne voulais lire qu'un seul chapitre mais j'ai lu 200 pages. Les dernières pages de mon livre.

ET QU'EST-CE QUE CA FAIT DU BIEN !

 

Ah, pardon, vous voulez peut-être savoir de quel livre il s'agit ?

Je m'en vais de ce pas en écrire la chronique. 

 

Et, qui sait, je vais peut-être commencer un autre livre ce soir...